Médias

Les coussins et oreillers posturaux dans les médias

J’ai testé… un oreiller postural

JOHANNE LAUZON
Chef, santé, bien-être, forme

Ma tête en a vu passé de toutes sortes, des moelleux, des rigides, des immenses, en forme de boudin, en duvet, en mousse, en latex, en écales de sarrasin. À l’évidence, ces oreillers n’ont jamais eu un effet tangible sur mes nuits. Je dors plutôt bien. C’est juste que je bouge. Que dis-je ? Je m’entraîne : double vrille sur le ventre, salto sur le dos, puis sauts sur la gauche et la droite. Et je recommence jusqu’à ce que le radio-réveil fasse entendre la voix de Marie-France Brazeau et de sa bande. Un oreiller postural pour améliorer le sommeil ? Je veux bien. Mais n’exagérons rien. Comment un truc qu’on dépose sous le crâne pourrait-il avoir un impact sur la qualité de ses heures nocturnes ? Voyons donc.

Ce soir là, j’ai sorti de sa housse l’oreiller Somnia, position sur le côté – malgré mes valses-hésitations, c’est toujours sur le côté droit que j’atterris. J’y ai laissé choir ma lourde caboche. Mon épaule, souvent trop tournée vers l’avant, s’est lovée, plus droite, dans l’espace prévu à cet effet. Ma nuque subissait moins de tension. Le support était impeccable, ni trop mou ni trop ferme, grâce à la mousse mémoire infusée de gel.

Au petit matin, j’étais toujours bien installée sur le côté droit. Cou’donc. Plus fraîche et dispose qu’à l’habitude.

L’oreiller postural Somnia 04” (pour dormir sur le côté) de l’entreprise québécoise Orthex, dans les boutiques spécialisées, 109,99$. Aussi modèle pour dormir sur le dos, Somnia 03”, 104,99$.

— Châtelaine, mars 2014

 

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